Bâtir, stabiliser, bousiller ?

« La première génération bâtit la fortune, la deuxième la stabilise, la troisième la bousille ». Cette phrase rapportée par Majid MESSOUS, architecte strasbourgeois en visite à Luxembourg, est celle retenue de diverses interactions avec son réseau senior alsacien. En direct de l’Interview, antique café du « nouveau quartier Hamilius », on parle alors architecture et patrimoine « avant/après ».  Cela prête à réfléchir à cette phrase redondante, de laquelle il s’est souvenu : dans un environnement de fortunes immobilières à valeurs et régulations variables, il y a de quoi s’interroger sur ces générations, au prisme du contexte économique dans lequel elles évoluent. Si l’on examine cette pensée dans notre contexte grand-ducal, qu’est-ce que la fortune bâtie par cette première génération ? Comment la suivante parvient-elle à la stabiliser et enfin de quelles manières la troisième en arrive-t-elle à « bousiller » ce patrimoine si laborieusement bâti ?

Bâtir à travers les siècles …

Dès le Moyen-âge, les terres luxembourgeoises sont convoitées et le pays connaît la fortune ou l’infortune des conquêtes et reconquêtes : espagnoles, allemandes, françaises[1]. Au début du 18ème siècle, sous domination des Pays-Bas autrichiens, le pays est « pauvre et inculte » (Dées De Sterio, 1999 : 26). L’introduction de la culture de la pomme de terre, nourriture vivrière de base n’apparait qu’en 1707. Á cette même époque, une présence militaire forte se fait ressentir dans ce Luxembourg rural, du fait du passage des différentes armées. Le paysage architectural se dessine alors autour d’une forteresse qui voit s’agrandir la ville, lieu de transit méritant déjà son surnom de Shamal Djebel Al Tariq soit, « Gibraltar du Nord »[2].

Au 19eme siècle, tant sur le plan sociologique que linguistique, le pays est décrit comme un véritable « pot-pourri prusso-franco-néerlando-belgo-luxembourgeois » (1999 : 44), comme le dépeint le Professeur en Sciences de l’Information et de la Communication Marius DEES DE STERIO,   Si le rôle prégnant joué par la « petite » Monarchie Constitutionnelle dans le concert des nations peut étonner, elle n’est pas sans une histoire qui dévoile de longues souffrances endurées. En effet, libéré en 1944, l’État appauvri doit se reconstruire de l’occupation allemande. La Grande Duchesse Charlotte plaide alors la cause de son pays aux États-Unis, qui en font un membre de l’ONU, puis de l’OTAN en 1949, avant que la capitale ne devienne une plaque tournante de L’Union Européenne avec Bruxelles et Strasbourg en 1957. En ce sens, tout s’accélère pour le Tiny Duchy – qui perçoit à peine son futur poids politico-économique à l’international.

Au 20ème siècle, le patrimoine bâti par la première génération luxembourgeoise, née autour des années du IIIème Reich s’est donc surtout fondé dans un contexte post-guerre serein, dans un pays à forte croissance économique, avec un niveau de vie relativement élevé. La société en quête d’un mieux-être a réussi son challenge. Sa jeunesse, entrevoit l’avenir de manière positive et elle bâtit, elle achète, elle construit, elle fonde … bien plus facilement que dans le contexte financier actuel, on y reviendra. Ainsi, la seconde moitié du 20ème siècle fut « probablement la période la plus heureuse que les Luxembourgeois n’aient jamais vécu au cours de leur histoire millénaire » comme le souligne l’historien Gilbert TRAUSCH (2001 : 8).

Stabiliser … en temps de croissance

Dans les années 60, le pays en expansion se construit à un rythme exponentiel et demeure à l’avant-garde des pays pro-européens en même temps que sa puissance capitaliste se renforce grâce à une législation propice et favorable qui voit des banques internationales s’y installer[3]. Focalisons-nous maintenant sur ces secondes générations qui « stabilisent » d’après les dires des seniors rencontrés par l’architecte strasbourgeois. Si on se penche sur cette génération née dans les années 50 et 60, elle est baby boomeuse et révolutionnaire, en voyant arriver un monde fait d’automatismes industriels. Elle tente la stabilité, elle se lance dans la pérennité et l’optimisation des biens de leurs parents, de rendre encore plus fonctionnel les terrains, jardins, piscines, investir, réinvestir … a sou weider. Avec ça, c’est l’explosion de l’agro-business, et l’émergence de la vénération d’un esprit consumériste dont on ne se détachera plus.

Cette seconde génération semble évoluer dans un contexte opportun pour stabiliser cette fortune, elle grandit tout comme le secteur de la construction. Avec toutes les évolutions vécues par ce Luxembourg en mutation, toujours plus de flux d’immigration attirés par la sidérurgie et la construction. En plus des besoins de main d’œuvre pour l’exploitation des mines qui se soldent par une migration des pays frontaliers et européens, la nécessité d’autres forces de travail diverses, de facto internationales, ouvrières, qualifiées et/ou diplômées se fait précipitamment ressentir. Désormais dans ce nouvel eldorado européen, la construction d’un paradigme social commun pour cohabiter devient fondamentale, pour les Anciens, la « Old School », mais aussi pour les « nouvelles premières générations » de résidents émigrants.

Bref, de part et d’autre, on fonde, on construit, on achète dès la vingtaine. C’est la génération «  La petite maison dans la prairie », l’une des séries étasuniennes des années 1970-80 les plus populaires  qui véhicule un message d’espoir avec la représentation du mythe du self-made man, soit Charles INGALLS qui bâtit de ses mains un habitat rudimentaire à l’architecture sommaire. C’est une maison en bois, représentative de l’architecture pionnière, construite en masse, dans la conquête de l’Ouest américain au 19ème siècle : « une architecture du pouvoir déguisée en une architecture du bonheur » ou encore le « reflet d’un design de la domestication spatiale et sociale, d’un design du pouvoir, où l’architecture donne forme au projet colonial »[4] comme le résume Sophie SUMA, Enseignante chercheuse en Etudes Visuelles et Histoire culturelle, urbaine et architecturale, à Strasbourg.  

Si la série privilégie un point de vue qui soustrait la violence à l’histoire de cette colonisation de l’espace au moyen de l’architecture, on reconnait dans la construction de la fiction pour plaire au grand public : l’homme fonde et la femme soutient. Images du générique : une famille qui arrive dans sa diligence dans une prairie, un couple à l’avant souriant, glorieux, sous le soleil. On y voit également les enfants, qui courent et s’amusent dans la prairie. Avec le chien. Simplement.   Charles est accompagné de ses trois filles et de sa femme Caroline. Caroline fonde en bonne mère au foyer : elle cuisine, elle lave, elle éduque les enfants. Le foyer matériel et familial se fonde au fur et à mesure et on voit les générations y évoluer.  Et devant l’écran, les femmes dans cet âge de gloire, qui ne sont pas encore mariées à l’âge de 25 ans sont mêmes perçues comme particulières, des « catherinettes ».  En Occident, où est diffusée la série, les différentes générations, bien représentées, du bébé au papy, sont grandement séduites et veulent ressembler aux Ingalls.  

Ces générations de la prospérité ont connu Hamilius[5]. Hamilius, c’était LE point central de la ville de Luxembourg, près de la Post, pour les transports en commun et aussi et surtout pour les piétons. Sous la place Hamilius, en effet un tiers-lieu, un espace de croisements, des couloirs, des commerces en sous-terrain qui évitaient d’attendre pour traverser, de se poser deux secondes pour prendre un café à emporter, de boire ce café en observant les danseurs hip hop qui donnaient des spectacles gratuits, quelques tags et autres peintures, affiches… Un passage qui permettait de se protéger de la pluie sans avoir hâte que le feu passe au vert. Epoque révolue. Si Hamilius voyait le coin qui porte son nom comme le nouvel eldorado des enseignes internationales…  il se retournerait peut-être dans sa tombe (tout comme notre voisin communiste allemand, au passage Karl Marx, s’il savait que pour voir sa tombe à Londres aujourd’hui … il faut payer !)

Bousiller … à l’ère de l’architecture digitale

Au XXe siècle, bâtir la finance, c’est aussi bâtir à l’ère de la mondialisation, bâtir des bâtiments modernistes telle la Tour Dexia BIL de 19 étages de Belval. Réalisée par l’architecte français Claude Vasconi, associé au Luxembourgeois Jean Petit, cette tour se situe à la frontière française, au milieu des anciens hauts-fourneaux de l’Arbed, (absorbée depuis par le conglomérat Mittal) géants conservés à titre de témoins d’une époque sidérurgique florissante révolue. Comme le dépeignait déjà en 2007 la presse Les Echos « la juxtaposition des deux mondes est pleinement assumée : la banque salue la vieille industrie à l’origine de la richesse du pays. Elle la côtoie sans l’effacer. Aucune honte, aucun complexe dans le rouge profond de l’acier émaillé qui pare toutes les faces » [6]. Un an après, la crise financière de 2008 qui a durement frappé l’économie a montré que si le prolétariat d’usine n’était plus, le prolétariat digital allait changer la donne pour les prochaines générations souvent décrites comme Y (née entre 1980 et 2000) voire Z (née après 2000).

Comment ces générations actives contemporaines pourraient elles être considérées aujourd’hui comme cette génération qui bousille ?   Pour les dernières générations de ce siècle, qui ont connu une enfance sans smartphone, les dépenses se sont accrues pour participer à la société numérique, qui a un coût : PC, internet, voire le télétravail contribuent à la productivité des grandes entreprises, qui n’ont plus autant besoin de locaux et d’employés dans une époque où l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle sont les nouveaux moteurs des algorithmes qui nous gouvernent

Quid de ces « enfants boomerang » qui retournent chez leurs parents[7] , ces « Tanguy » qui deviennent aussi monnaie courante que les Catherinettes pour la génération précédente. La donne s’inverse. Tanguy, film français sorti en 2001 raconte l’histoire d’un jeune homme de 28 ans qui vit encore chez ses parents : une situation choquante pour l’époque, où une grande partie de la jeunesse s’empressait de quitter le foyer pour trouver un logement une fois la majorité et/ou le diplôme passé.  En 2018, « boomerang », le protagoniste a 44 ans à la sortie du film, il revient divorcé avec sa fille qui passe le bac. Aujourd’hui encore, en ayant discuté avec des membres AMIPERAS à Luxembourg, on remarque que nombreux sont ces grands-parents « envahis » par les difficultés financières de leurs enfants et bien souvent aussi de leurs petits-enfants eux même étant lésés par leurs parents … Un cycle vicieux défavorable à tout un chacun.  Nombreux sont également ces parents anciennement banquiers perçus comme les acteurs du NYSE (New York Stock Exchange) du Loup de Wall Street devenus des prolétaires digitaux à copier-coller en direct de leur open-space, à base de « cordialement » à tout va, derrière l’écran… Les conditions de travail en ayant évolué ont aussi amenés leurs pathologies du travail comme le burnout, le bore-out ou encore le brown-out, soit, respectivement : la surcharge, l’ennui ou l’absurdité au travail[8]. Les heures glorieuses et lucratives, la statue de Wuppertal qui représente Ein Neuer Erfolgreicher Tag, « un jour fructueux », ne sont plus si prégnants que ça… Elle n’est plus contemporaine et crédible : un jeune homme en chemise cravate, chaussures de ville, qui fait le poirier, heureux, comme un gosse !

« Le Luxembourg, si riche et si pauvre à la fois » titrait le 7 mars 2023 notre confrère du Républicain Lorrain, Damien GOLINI. Le chapeau résume en quelques phrases la situation actuelle : « Le pays le plus riche du monde, en termes de PIB/habitant, concentre aussi de grosses disparités de richesse au sein de sa population. Sur fond d’inflation galopante et d’explosion des prix de l’immobilier, près d’une personne sur cinq y vit sous le seuil de risque de pauvreté. Parmi elles, de plus en plus de jeunes. » On constate donc un malaise social commun dans la société contemporaine, celui d’une génération de jeunes adultes qui ont du mal ou qui refusent même de quitter le confort et la sécurité du cocon familial. Ce comportement peut être interprété comme un refus de prendre la responsabilité de leur vie et de leur avenir dans un contexte économique incertain. Ce, au frais du contribuable retraité … et épuisé tout comme ceux qui crient à l’abolition de la réforme des retraites, la situation étant déjà assez compliqué … pour plus d’une génération. En effet, l’actualité liée à la réforme des retraites cache aussi un autre gros malaise social en constatant non seulement pour les générations mais pour tout un chacun un pouvoir d’achat fortement en baisse, avec des prix qui interrogent le citoyen lambda qui hésite à aller dans nos supermarchés voisins à Perl, pour épargner un minimum.  Ce citoyen lambda s’interroge lorsqu’il s’agit de faire les courses du quotidien à Luxembourg : n’y a-t-il pas une forte ressemblance dans les commerces entre l’Euro et le Franc Suisse ? Keng loscht mei

Bousiller ou bousillée ? Quid de cette jeunesse qui se retrouve être la première génération plus pauvre que ses parents … depuis la nuit des temps ? Quid de ce populisme et de ces partis d’extrêmes droite … sans trouver à quel Führer se vouer.  « Wann die Losung das Problem ist » expliquait Paul Watzlawick. Et désormais cette jeunesse plus locataire que propriétaire, une jeunesse qui ne se sent plus chez elle, dans un marché où les loyers augmentent, ou les AirBnB deviennent lambdas, ou les « smart flat » viennent s’ajouter à la liste des « smart tout » du smartphone au smartcities. « Wann die Losung das Problem ist » ? Entre logements intergénérationnels à partager pour certains, logements qui contribueraient à pallier la solitude des séniors et locations de camping moins chers en basse saison … ça reste du bricolage. Quid de pouvoir suivre ces augmentations burlesques avec un revenu minimum qui nous permettrait d’être à l’égal de nos parents et nos grands-parents qui n’avaient pas à subir les dépenses qu’ont les générations les plus jeunes… au grand dam de notre temps et au grand bénéfice de nos sociétés oligarques ? Si on parle de l’architecture bâtie par nos aïeux, quid de l’architecture qui désigne la structure générale inhérente à un système numérique bâtie par nos contemporains : ces algorithmes qui nous gouvernent : les MAAMA (ex-GAFAM : Google, Facebook, Amazon, Apple, Microsoft), les BATX (Baidu, Alibana, Tencent, Xiaomi) et autres NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber) ? « Wann die Losung das Problem ist » ? Ne s’agirait-il de pallier ce malaise social en redistribuant mieux les richesses ? Pourquoi l’avenir des générations à venir, se discute, se perçoit mieux par les boss des algorithmes tel que Mark Zuckerberg ? En effet, en 2017, lors d’un discours des anciens de Harvard, il se prononce en faveur du revenu universel. Dans le roman Moi, Omega de Erwan Barillot (2022), Ian Ginsberg, double fictif du PDG de Facebook, prononce le même discours et, à partir de 2040, instaure effectivement le revenu de base pour l’ensemble de ses utilisateurs[9]. Le revenu universel – en complément des revenus de tout un chacun – si attendu ici et si méconnu là… Ce dossier qui serait actuellement dans les mains de l’ancien Ministre du Travail luxembourgeois à Bruxelles est attendu. En Allemagne une expérience béhavioriste a été mise en place pour tester cette allocation universelle : 122 personnes ont été tirées au sort pour recevoir 1200 euros par mois. ‘Il s’agit ainsi d’étudier l’effet du revenu de base sur le comportement et la manière de dépenser[10]… pour mieux bâtir à l’avenir.

Kuertz gesot

« La première génération bâtit la fortune, la deuxième la stabilise, la troisième la bousille ». A l’international cette phrase entendue en Alsace et discutée à Luxembourg peut être valable à l’ère d’un monde en mutation avec des algorithmes créateurs et porteurs de richesses à prendre politiquement en compte. En attendant, il s’agit de ne pas être fataliste. Majid MESSOUS, co-gérant chez KUB Architecture et Design à Strasbourg, compte parmi cette jeune génération Y qui bâtit et qui repense les vestiges d’architectures qui nous permettent encore de communiquer : la presse. En effet, sa société qui emploie une quarantaine de collaborateurs a déménagé au cœur de la Plaine des Bouchers, dans l’ancien bâtiment de l’usine Spiertz[11], qui a marqué le début de la construction des presses hydrauliques. Les générations des années 80 et après ont donc le capital de la créativité avec eux. Dans une Alsace, un Luxembourg, habitués aux mutations et aux reconstructions et comme plein d’autres lieux de croisements dans le monde, ça agit encore : les dernières générations savent aussi pérenniser optimiser, influencer … et même s’occuper de leurs parents. Kuertz gesot, comme le disait l’artiste Rim-K dans son titre « Bouzillé », il y a aussi cette jeunesse qui se sent bousillée mais qui sait aussi se débrouiller. Une jeunesse qui se construit avec ou sans patrimoine et qui rassure ses aïeux mais aussi les générations suivantes, en leur rappelant le fameux proverbe russe : « Tomber est permis, se relever est ordonné ».


Linda SAADAOUI – Dr. en Sciences de l’Information et de la Communication

Article publié dans le trimestriel AMIPERAS, Luxembourg, été 2023.



[1] Durant le 17ème siècle, le pays est sous domination des Rois d’Espagne et des empereurs allemands (1506- 1684). Entre 1684-1698, a lieu la première occupation française qui ne prendra fin qu’en 1697, lorsque les troupes de Louis XIV seront chassées par celles du Roi d’Espagne. En 1714, à la suite du partage de l’héritage espagnol, le Luxembourg revient au Saint Empire Romain de Nation Germanique « Das Heilige Romische Reich Deutscher Nation ». Peu après, la gestion des Pays Bas Autrichiens ou « Province Belge », puis le gouvernement de l’Empire Français, prend la relève (1805-1814).

[2] La conquête musulmane de la péninsule Ibérique débute à Gibraltar : Tariq Ibn Ziyad, gouverneur omeyyade berbère, y débarque en 711 et laisse son nom au rocher, Djebel al Tariq (« la montagne de Tariq »), devenu au fil du temps « Gibraltar ».

[3] Ce nouveau statut de carrefour bancaire permet de résister et de s’adapter aux nouvelles donnes issues des chocs pétroliers et surtout de la crise sidérurgique au cours des années 70. En 1983, une loi sur les Sociétés d’investissement -SICAV- va accélérer le développement et la réputation d’une solide agora financière. 

[4] Sophie Suma, « Que nous dit la maison de La petite maison dans la prairie ? », RadaЯ [En ligne], 7 | 2022, mis en ligne le 15 juillet 2022, consulté le 17 mai 2023. URL : https://www.ouvroir.fr/radar/index.php?id=508

[5] Politiciens luxembourgeois, père et fils, Emile Hamilius (1897 – 1971) et Jean Hamilius, né en 1927 ont participé au développement sociétal et architectural de la ville, notamment avec la construction de l’extension “Kueb” à Kirchberg pour le parlement européen avec l’illustre architecte français alors, Talibert (aussi responsable de la Piscine Olympique du Kirchberg). La place porte le nom du père.

[6] https://www.lesechos.fr/2007/03/la-tour-signal-de-dexia-au-luxembourg-525703

[7] Les enfants « boomerang » retournent chez leurs parents (la-croix.com)  par Frédéric Mounier, le 31/01/2017

[8] Salentini Nicolas, Le Monde. « Après le burn-out et le bore-out, voici le brown-out »  (13/10/2016).

[9] Grégoire Normand, « Mark Zuckerberg se prononce en faveur du revenu universel », La Tribune,‎ 26 mai 2017

[10] « Un revenu universel à 1.200 euros testé en Allemagne » , Les Echos, https://www.lesechos.fr/monde/europe/lallemagne-teste-un-revenu-universel-a-1200-euros-1319825

[11] Habiter 2022|Hors-série Or Norme by Or Norme . https://issuu.com/ornormestrasbourg-magazine/docs/on_habiter_webpage_1_/s/17435575

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